La mémoire à court terme rassemble deux types de mémoire :
La mémoire de travail qui correspond à la mémoire du présent. Permettant de retenir des informations pendant quelques secondes seulement, elle est sollicitée en permanence. Les interactions entre mémoire de travail et mémoire à long terme existent, néanmoins, dans la plupart des cas, les informations ne sont pas stockées. Il s’agit, par exemple, de retenir un numéro de téléphone le temps de le noter. Par ailleurs, il a été démontré qu’un humain pouvait retenir 7 informations en moyenne, c’est pourquoi le nombre 7 est considéré comme un « chiffre magique ».
La mémoire sensorielle se décline elle aussi en diverses catégories. En effet, on observe trois formes d’apprentissages liées à trois types de mémoire. Chaque individu possède plusieurs types de mémoire qui fonctionnent simultanément et/ou alternativement. Même si toutes les formes de mémoire sont utilisées, chacun possède une mémoire dominante qui varie selon les personnes :
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La mémoire visuelle (ce que nous voyons), dominante pour 60% des individus soit la majorité d'entre nous
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La mémoire auditive (ce que nous entendons) prédomine chez 30% de la population
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La mémoire kinesthésique (relative aux autre sens que la vision et l’ouïe) n'est donc dominante que pour 10% des gens.
Dans un second temps, au sein de la mémoire à long terme et selon la théorie la plus répandue / soutenue, il existe quatre principaux systèmes de mémoire.
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La mémoire sémantique est la mémoire du savoir et de la connaissance. Elle concerne des connaissances générales sur le monde (relations sociales, actualités…) et sur soi-même (personnalité, généalogie…)
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La mémoire épisodique consiste en l’acquisition de souvenirs. Elle replace chaque instant dans son contexte et permet donc de se souvenir d’évènements autobiographiques passés mais aussi de prévoir le lendemain (par exemple, imaginer le déroulement du week-end suivant) car se sont les mêmes circuits cérébraux qui sont activés dans les deux cas. Les détails des moments en question s’étiolent et s’amalgament au fur et à mesure que le temps passe, transformant la plupart des souvenirs épisodiques en simples connaissances.
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La mémoire procédurale est implicite, inconsciente puisque relative aux automatismes acquis et répétés au cours de notre vie comme faire du vélo ou bien jouer d'un instrument de musique. Elle est donc particulièrement utilisée par les sportifs de haut niveau et les artistes qui ont pour objectif d’atteindre l’excellence avec des procédures parfaites.
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La mémoire perceptive fonctionne à l’insu des individus, pareillement à la mémoire procédurale. Elle relève des modalités sensorielles et correspond au souvenir des visages, des voix et des lieux.


Quels sont les différents types de mémoire ?
La mémoire se décline en nombreux types et catégories.
Dans un premier temps, on distingue deux catégories distinctes de mémoire. Ainsi, le court terme se différencie du long terme d'abord par la durée de mémorisation (quelques instants pour le premier contre plusieurs années, voir toute une vie pour le deuxième) et ensuite par la quantité d'informations conservées (la mémoire à court terme ne peut stocker qu'une faible quantité d'informations alors que la mémoire à long terme n'est presque pas limitée et peut emmagasiner une très grande quantité d'informations).

